Comme je te désire
Je ne désire qu’une chose, que tu m’aimes.
Dans ta bouche, ses mots
Dans tes yeux, ses larmes,
Dans ton cœur, sa flamme, parce qu’il t’emplit entièrement, ce sentiment.
Je ne désire qu’une chose,
Que ta main tremble en approchant de mon visage,
Que du bout des doigts, tu oses à peine le toucher
Que simplement tu n’arrives pas à croire, que je suis là, juste pour toi.
Je ne désire qu’une chose,
Que ta gorge se serre lorsque tu me vois,
Que tes mots se bousculent confusément,
Que tu hésites, doutes, peines à t’exprimer, parce que tu sens mon regard.
Que tu sentes ton cœur se retenir, parce qu’il n’ose à peine bouger,
Que tes pieds se dérobent sous toi, ne pouvant te porter plus prêt de moi.
Que cette folie que tu ne peux contenir inonde ton être entièrement
T’emporte, t’alarme, t’effraie.
Que tu aies peur de m’aimer
Que tu aies peur de me perdre,
Que tu aies peur de m’approcher,
Que tu aies peur de t’éloigner.
Je ne désire qu’une chose,
Que chaque fibre de ton corps sente qu’il n’y a d’apaisement
Qu’auprès de moi.
Que chaque fraction de ton âme sente qu’il n’y a de paix
Qu’auprès de moi.
Pour qu’enfin, presque,
Tu puisses ressentir,
Une simple parcelle,
De ce que je ressens.
Mon amour pour toi
Dans ta bouche, ses mots
Dans tes yeux, ses larmes,
Dans ton cœur, sa flamme, parce qu’il t’emplit entièrement, ce sentiment.
Je ne désire qu’une chose,
Que ta main tremble en approchant de mon visage,
Que du bout des doigts, tu oses à peine le toucher
Que simplement tu n’arrives pas à croire, que je suis là, juste pour toi.
Je ne désire qu’une chose,
Que ta gorge se serre lorsque tu me vois,
Que tes mots se bousculent confusément,
Que tu hésites, doutes, peines à t’exprimer, parce que tu sens mon regard.
Que tu sentes ton cœur se retenir, parce qu’il n’ose à peine bouger,
Que tes pieds se dérobent sous toi, ne pouvant te porter plus prêt de moi.
Que cette folie que tu ne peux contenir inonde ton être entièrement
T’emporte, t’alarme, t’effraie.
Que tu aies peur de m’aimer
Que tu aies peur de me perdre,
Que tu aies peur de m’approcher,
Que tu aies peur de t’éloigner.
Je ne désire qu’une chose,
Que chaque fibre de ton corps sente qu’il n’y a d’apaisement
Qu’auprès de moi.
Que chaque fraction de ton âme sente qu’il n’y a de paix
Qu’auprès de moi.
Pour qu’enfin, presque,
Tu puisses ressentir,
Une simple parcelle,
De ce que je ressens.
Mon amour pour toi
Dernier commentaire