Nihil
Pas de larme, pas de souffrance.
Rien que le vide, l'absence.
J'attends en vain,
Quelque chose, quelqu'un.
Je ne sais pas vivre seul,
Sans rien à construire.
Cela me rapproche trop du linceul
Et dans ce qui dans la mort il y a de pire.
Je ne peux pas aller au devant, chercher.
Je n'en ai pas la volonté.
Je reste là, effondré.
Comme un trou noir à la recherche de matière,
Un objet sans reflet, sans couleur, avide de lumière.
Peu à peu se referme ma coquille.
En son centre je me recroqueville.
Ainsi je guette, j'attends... Une sensation...
Étrange hibernation.
Rien que le vide, l'absence.
J'attends en vain,
Quelque chose, quelqu'un.
Je ne sais pas vivre seul,
Sans rien à construire.
Cela me rapproche trop du linceul
Et dans ce qui dans la mort il y a de pire.
Je ne peux pas aller au devant, chercher.
Je n'en ai pas la volonté.
Je reste là, effondré.
Comme un trou noir à la recherche de matière,
Un objet sans reflet, sans couleur, avide de lumière.
Peu à peu se referme ma coquille.
En son centre je me recroqueville.
Ainsi je guette, j'attends... Une sensation...
Étrange hibernation.
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